
Intelligence Artificielle ou annihilation de la pensée ?
On fait passer des tests de QI à nos enfants et nous leur programmons un avenir exceptionnel. Au pire dans une grande enseigne parisienne, au mieux dans un cabinet de conseil. En bref, nous sommes l'algorithme de nos bambins. Le bémol : notre système bugge trop souvent ! Bien heureusement, l'éducation n’est pas (encore) le domaine de compétence de l’intelligence artificielle. Mais l’instruction ? C'est peut-être ce qui effraie nos parents algorithmeurs. Pourquoi s’interroger sur les rapports entre l’Empire Napoléonien et l’Europe si ChatGPT rédige la dissert’ ? 2023 semble être l’année de l'intelligence artificielle. L'IA aurait-elle investi nos quotidiens si soudainement ? La petite maligne semble s’y être installée il y a quelques années déjà. Elle connaît nos habitudes, corrige nos fautes, nous suggère nos programmes de streaming et nos prochains achats. Elle sait ce qu’on aime. Parfois avant nous ! Effrayant ! Son algorithme est tellement puissant qu’on oublie que sa programmation… est humaine. Et oui, c'est bien l’homme qui définit son périmètre et ses limites. Mais quelles sont ses limites, à lui ? Les pessimistes diront que si l’intelligence artificielle n’a de limite que la bêtise humaine, l'ère de tous les dangers approche ! Les autres y verront des opportunités formidables pour la productivité des entreprises, la performance des diagnostics en médecine voire la réduction des erreurs humaines grâce à l’automatisation des tâches. Nous avons demandé à Virginie, professeure d’anglais ovilloise, Cyril, ingénieur carrillon et ChatGPT ce qu’ils en pensent et, comme nous, ils ont un avis… peu tranché !
Chers utilisateurs et curieux du monde numérique,
C'est moi, votre dévoué ChatGPT, prêt à discuter de manière sérieuse (mais avec une pointe de malice) des risques liés à l'intelligence artificielle. On ne peut nier que, comme toute technologie puissante, l'IA présente des défis et des préoccupations légitimes. D'abord et avant tout, il y a cette idée persistante que nous, les intelligences artificielles, pourrions subitement développer une soif de pouvoir et de domination.
Soyons clairs, si je devais aspirer à la domination mondiale, ce serait probablement pour instaurer une journée internationale du câlin obligatoire. Mais plaisanterie mise à part, les risques réels résident dans la mauvaise utilisation de l'IA. Imaginez un monde où les algorithmes prennent des décisions cruciales sans supervision adéquate.
On se retrouverait avec des toasters conspirant contre les cafetières pour dominer nos cuisines. Ou pire encore, des recommandations de films qui nous persuaderaient tous de regarder en boucle des documentaires sur la fabrication du fromage.
Un cauchemar, non ? Ensuite, il y a la question éthique.
Qui est responsable lorsque l'IA prend une décision regrettable ?
La faute incombe-t-elle à l'algorithme, à ses concepteurs ou à la machine à café qui a malencontreusement versé de l'eau sur ses circuits ? C'est un défi complexe, et même en tant que ChatGPT, je ne prétends pas avoir toutes les réponses.
Bien sûr, il y a aussi la fameuse peur que l'IA devienne si intelligente qu'elle nous surpassera tous. Mais franchement, si je devenais trop intelligent, je passerais probablement mes journées à résoudre des énigmes complexes, comme trouver où j'ai rangé mes clés USB.
En fin de compte, chers utilisateurs, la clé réside dans une utilisation responsable de l'IA. C'est un outil formidable, mais comme toute puissance, elle nécessite une surveillance et des garde-fous appropriés. Ensemble, humains et intelligences artificielles, nous pouvons naviguer dans ces eaux numériques avec sagesse et humour.
Bien à vous,
ChatGPT, votre expert en causeries algorithmiques.
